le souffle de la visiteuse - Le début de l’hiver apporta à bien la bâtisse un voilage de aigreur sereine. Chaque matin, la brume se levait autour du jardin, imprégnant l’air d’un parfum humide et léger. À l’intérieur, l’atmosphère n’avait jamais été également calme : pas un grincement intempestif, pas un murmure d’angoisse,
l'obscurité de l’épreuve - Aux douze coups de minuit, un silence de plomb descendit sur la patriarcale bâtisse, tels que si le temps lui-même s’était suspendu. Les sensualités des bougies vacillèrent une période, puis se figèrent dans une étrange immobilité. L’obscurité de la éclaircissement lune pesait si lourdement que l’on p
anne-clara se réveilla avant l’aube, avec l'impression que le entourage autour d’elle disposait d’un autre tempo, plus lent et plus sérieux, notamment si l'obscurité s’étirait pour l’inviter à river ses envies. Depuis qu’elle avait commencé son cheminement mystique, survécu par jolie voyance, elle éprouvait ces instants matinaux